23 mai 2011 - 18:30
Café l’Euro-Café / 41, rue Moyenne / Bourges
Par Fabrice GRENARD, agrégé et docteur en Histoire, professeur en lycée et chargé de conférences à Sciences Po Paris
A la fin de l’Occupation, des criminels profitent du contexte pour dissimuler leurs actions derrière un paravent patriotique. Ces « faux maquisards » constituent un défi pour la Résistance qui ne veut pas voir son image ternie. Mais l’accusation de faux maquis apparaît aussi instrumentalisée par la résistance gaulliste pour discréditer les communistes.
RSS